la troisième rive

Publié le 6 Mai 2012

Affectif d'attrait et d'aversion, goût orange des papilles-monde, et des cris de partout vers le ciel. Tout semble calme pourtant, sauf ce départ en soi, inéluctable, comme la douleur d'écrire qui emporte. Car la littérature même n'est plus médicament contre l'angoisse; le songe même, cette union de nos Mois diurne et nocturne, n'y suffit plus maintenant, l'androgyne d'atteinte est de perte encore, et il nous faut, migrateurs complets et non plus simples erratiques, échapper à l'absence même.

Rédigé par h. j. g. de la barge

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