no fences ?

Publié le 31 Mars 2010

J'ai été rempli de ta voix jusqu'en mon sexe, et je ne peux mieux expliquer comment tu vas m'écrire, cette nouvelle limite de velours noir. Mais, déjà, tu ne vois que les grilles aux fenêtres des châteaux de ton fils, tous les passants des évadés, et je profite de ta panique, j'y insinue mon rejet, alors que deux et sans nous être rencontrés partageons l'absurde de toutes ces haies qui empêchent le jardin où tous glissent. Il faut bien longtemps pour comprendre que l'arbre pousse du ciel, et que le chamane est bien depuis le début vers nos âmes, attirées.

Rédigé par h. j. g. de la barge

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