Publié le 29 Mars 2011

Pessoa n'est que tripes, l'enfant n'est que désobéisseur cortical de plus en plus contrarié par l'instituteur, fut-il moral et républicain. L'école ne devrait rester qu'une pause au milieu de champs et de forêts. Le langage psychanalytique, lui, est troisième...

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Rédigé par h. j. g. de la barge

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Publié le 27 Mars 2011

Je vais peut-être fumer mon premier cigare en terrasse, et ce n'est pas insignifiant. Soleil tranquille, et pas ce monde interdit et dangereux de mon toujours dit, toujours cru. Comme un passage à l'acte, comme le chapeau, comme le bouc aussi osé. Je...

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Rédigé par h. j. g. de la barge

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Publié le 22 Mars 2011

Littérature de sanatorium: cette fièvre pleine est bien plus sensuelle, présente, mienne, que la toux de cette nuit, qui tentait à une douleur de l'externe. Daumal. Opium. Fièvre. Sont-ce déjà les cloches ou encore ma voûte qui tinte de toute cette toux...

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Rédigé par h. j. g. de la barge

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Publié le 20 Mars 2011

Cette valise ne cesse de me blesser. A deux: comme un crabe les pinces liées que l'on va jeter dans l'eau bouillante. Sac, garde-meubles, l'Inde, mais un couple est possible, mais un couple de voyages, un amour de cherche-fissure, de cherche-trous, ce...

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Rédigé par h. j. g. de la barge

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Publié le 20 Mars 2011

Des sables en pâtures, accumulés au devoir des eaux et des hommes, blonde surprise de dégel, ignorances des pleines saisons. Un presque-immense de sédentaires qui s'élude en vert; chemins plus que centenaires qui guident le ferme des airs, le froid en...

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Rédigé par h. j. g. de la barge

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Publié le 19 Mars 2011

Princesse des neiges dans sa montagne gelée et belle, enfants oui dans leur peut-être, mère qui brame à ma mort, la génération qui me gonfle, seuls les arbres d'hiver et leurs pommes en lieu de mots. Corps de fermes, corps de bêtes rentrées, plus de corps,...

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Rédigé par h. j. g. de la barge

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Publié le 13 Mars 2011

Personne d'autre que lui ne l'avait attiré cette fois, il s'était enfin lui-même nommé en cet Sud, père à venir, trajet vers eux. Elle apparut bleu duende là où autrefois il n'avait rien vu, rien senti, rien voulu être, livre creusé. Elle est soleil d'un...

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Rédigé par h. j. g. de la barge

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Publié le 12 Mars 2011

Un amour serein, ne serait-ce pas le sommeil du duende ? J'en sors, répondit-il à la jeune et pourtant habituée, attablée, et qui écrivait. Mais, hélas, seul le dessus de son regard: sa voix n'est pas triste. Aujourd'hui, non, les enfants ne peuvent plus...

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Rédigé par h. j. g. de la barge

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Publié le 7 Mars 2011

Des morceaux de soi-même qui sombrent et d'autres qui se colorient, et avec, l'amour, seule thérapie ? Quand je n'aime pas j'ai un dictionnaire magique qui intègre le second degré; de temps à autre je passe et pousse la porte de l'antre de la Kundalini,...

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Rédigé par h. j. g. de la barge

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Publié le 6 Mars 2011

Je ne suis pas confortable de ne pas avoir osé mieux payer mon professeur de yoga. Maintenant le cours est assuré de son au-revoir, mon intolérance peut-être me rend intégriste, de cet argent qui déborde. Mais pour l'heure, pour nos nuits, multiples et...

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Rédigé par h. j. g. de la barge

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