Publié le 22 Août 2010

ménager le douloir. malgré la chaleur, attaquer l'entropique s'inscrit et soulage. vinaigre et serpillière. pauvres intérieurs ? chaque boîte est une bibliothèque éventrée à l'appel des feuillages ou de la mer, chaque premier cercle contient l'étoile,...

Lire la suite

Rédigé par h. j. g. de la barge

Repost0

Publié le 19 Août 2010

Ce qui fait vivre l'origine dans la traduction, c'est l'incertitude, définitive. Voilà pourquoi aujourd'hui seuls les romans étrangers me parlent, et pourquoi demain, je serai, enfin, heureux, de n'avoir jamais maîtrisé aucune langue. Je ne mangerai pas...

Lire la suite

Rédigé par h. j. g. de la barge

Repost0

Publié le 18 Août 2010

Organe-oreiller: l e cordon relie le foetus à cet organe bien à lui et dont il faut se séparer. Dès qu'il tombe chez toi un mètre de neige poudreuse, laisse toi t'effondrer dedans, et respire comme tu es bien, pression idéale, exacte contre-forme de toi:...

Lire la suite

Rédigé par h. j. g. de la barge

Repost0

Publié le 17 Août 2010

Tumulte sans réponses attendues, et pourtant présentes à tous: la famille est border-line, purée et rétention, épuration et technique archaïque de non-extase, on a longtemps cru que la terre était immobile. Il n' y aurait plus grand chose à y dire ? Mais...

Lire la suite

Rédigé par h. j. g. de la barge

Repost0

Publié le 8 Août 2010

J'ai vécu l'enfer absolu, celui des mots-non qui paralysent, celui des mots-deux qui ne disent, trois jours chez m'amer. Celui des murs à monter sur lesquels jamais, car à côté coulait bien sûr une rivière. Y accédant enfin en rêve, d'énormes poissons-danger...

Lire la suite

Rédigé par h. j. g. de la barge

Repost0

Publié le 21 Juillet 2010

Comment maintenant rejoindre l'Intermonde ? Décor ambigu comme la svastika déformée. L'eau a gelé dans la bouteille, au fond du sac, et le missionnaire s'est-il vraiment assoupi ? Le feu des deux en a profité, fumée verticale, et là-haut le ciel qui glisse....

Lire la suite

Rédigé par h. j. g. de la barge

Repost0

Publié le 18 Juillet 2010

Juste le temps, juste à temps: notre temps sera parfait. Jamais on ne voyage chez toi sans piscine, mais pourtant sans peine on avance, pas de débarquement: tu es une maison à toi seule. On s'est trouvés juste à point: cuisson parfaite, la maman, le nomade:...

Lire la suite

Rédigé par h. j. g. de la barge

Repost0

Publié le 10 Juillet 2010

Le nomadisme ne peut être famille et la nature n'admet aucun social. "De l'esprit au brin d'herbe" nous exclut du lien au vivant en nous affirmant en Être. Les mots n'attachent que le corps seul et écartelé, réceptacle geignant et vrai, et fuite absolue...

Lire la suite

Rédigé par h. j. g. de la barge

Repost0

Publié le 13 Juin 2010

Comédie, sept heures, au contact, pavé vide, ciel plein, trains humains d'eau de la nuit, rien ne flotte, rien ne glisse, ici il n'y a pas de vitrines, pas encore, mais gentillement des restes et des entrants, cafés qui presqu'ouvrent et rues qui presque-nuit....

Lire la suite

Rédigé par h. j. g. de la barge

Repost0

Publié le 13 Juin 2010

Pourquoi s'acharner à la peine et à la traduction, alors que les mots sont, et que les femmes aiment ? Pourquoi se perdre encore à la chaîne des sens, quand toucher vous est maintenant donné ? Lis donc les premières pages et arrête-toi: là est le fleuve...

Lire la suite

Rédigé par h. j. g. de la barge

Repost0